THERAPEUTE DE COUPLE

Thérapeute de couple

Des couples de tous âges consultent en thérapie conjugale.

Cette démarche survient fréquemment après qu’un couple ait essayé en vain de résoudre seul un problème. Ce problème peut avoir des origines multiples : crise liée à l’âge, problèmes d’argent, maladie, infidélité, remariage, problèmes avec les enfants, soucis professionnels etc…

Mais commen en toute chose de la vie, une crise n’est pas que négative. Elle est un moment de réflexion et de questionnement qui permet d’avancer, de changer ou de redéfinir une relation.

Les couples qui consultent craignent l’implosion de leur union mais expriment en même temps un désir profond e la voir survivre.

Le thérapeute n’est ni juge ni arbitre. Il utilise les outils de lathérapie comportementale pour venir en aide aux patients et répondre à leur désir de quitter une souffrance.

Au delà des symptômes apparents, le thérapeute tente d’identifier les causes du problème. Certaines choses anciennes et enfouies font parfois très mal sans que l’on en ait conscience.

Dans d’autres cas les couples ont simplement « oublié » comment être ensemble. Il faut les aider à se rappeler ce qui les a séduits, ce que chacun aime dans l’autre, leur réapprendre à communiquer dans un cadre neutre et en présence d’autrui. Il faut se « reconnecter » avec le plaisir puis le bonheur d’être ensemble.

La réussite d’une thérapie de couple n’est pas systématiquement de rester ensemble. On apprend sur la dynamique de couple mais aussi beaucoup sur soi-même. Au bout du compte, l’important est de se sentir mieux individuellement pour aller de l’avant.

Consulter dans le cadre d’une thérapie de couple, c’est se donner les moyens de vivre mieux avec soi et avec l’autre.

VIVRE UN DEUIL

Vivre un deuil

Perdre un être cher est un événement bouleversant. Face au deuil il faut avant toue chose se laisser le temps de « guérir ». Il n’existe pas de recette miracle seulement des préconisations utiles. Le travail de duil réclame une énergie considérable. Il convient donc de s’occuper de soi, de s’accorder des moments de détente. Il ne faut surtout pas hésiter à libérer et exprimer sa souffrance et ses émotions. Il est nécessaire de s’entourer de personnes avec lesquelles on se sentira bien afin de se confier et de se décharger d’un poids si lour à porter.

Le deuil se décompose schématiquement en différentes phases qui peuvent s’imbriquer entre elles :

dans un premier temps, la personne endeuillée doit prendre conscience et reconnaître la perte effective de l’être aimé. C’est une phase où se mêlent le refus, le déni de la réalité, la sidération, l’anxiété, l’angoisse, l’hébétement ou l’engourdissement.
À cette étape succède une période de souffrance. On recherche la personne perdue, on est au désespoir, on pleure, on crie, on vit le quotidien avec tristesse. C’est un état dépressif réactionnel tout à fait normal durant lequel on a une sensibilité accrue et un désinvestissement dans les choses de la vie.
C’est seulement ensuite que vient le temps de a reconstruction. On peut alors réinvestir son environnement, accepter l’idée de la mort et apprendre à vivre sans l’être perdu.
S’il varie d’un individu à l’autre, le « travail de deuil » dure environ deux ans. Laisser du temps au temps permet de s’apaiser et d’éprouver peu à peu moins de souffrance au souvenir de la personne disparue. Parler à ses proches ou à un psychologue sachant recevoir la douleur, permet de diminuer l’intensité et la durée du chagrin et du sentiment d’effondrement face à la perte d’un être aimé.

Le psychologue s’avère être un interlocuteur privilégié car il permet à la personne endeuillée d’avoir le droit d’être encore triste et désarmé quand la vie continue pour les autres.

AIDE PSYCHOLOGIQUE ET ASSISTANCE THERAPEUTIQUE

Aide psychologique et assistance therapeutique

La dépression est très répendue et  touche 20 à 30 % de la population. Au cours de sa vie, chaque individu connaît des hauts et des bas. La tristesse est alors une réaction normale aux épreuves qu’il peut rencontrer. Généralement cet état est de courte durée, puis s’estompe et finit par disparaître. Mais lorsque le sentiment de tristesse persiste, qu’il interfère avec la capacité à travailler, à étudier, à manger, à dormir ou à s’amuser, ce n’est plus une situation « acceptable ». Quand des émotions comme l’apathie ou le desespoir ne veulent pas disparaître, la dépression peut être la cause de ces maux. Plus qu’un coup de blues temporaire, la dépression nerveuse empêche d’apprécier la vie au quotidien.

Cependant, toues les personnes atteintes de dépression nerveuse ne se sentent pas forcément tristes. A la place, elles ont l’impression que leur vie est vide. Dans cet état d’apathie, elles sont incapables de prendre du plaisir à faire quoi que ce soit. D’autres au contraire sans manifester de détresse apparente vont multiplier les activités pour compenser et donner du sens à leur vie mais n’en retireront elles non plus aucun satisfaction.

Cette complexité des symptômes qui varient en fonction des indivius mais aussi dans le temps et en intensité « paralyse » parfois les personnes en état dépressif, qui ne percoivent pas l’intérêt de consulter. Prisonnières de leur pessimisme, convaincues de ne pouvoir être comprises par autrui, incapables de voir le bout du tunnel, elles peuvent en arriver à penser que le suicide est la seule solution.

Le rôle de l’entourage est dans ce cas primordial. Il ne faut pas hésiter à s’informer et en cas de besoin inviter (avec insistance si nécessaire) le sujet en détresse à se faire aider, car seul un suivi psychologique et/ou médical pourra le soulager.

L’addition de comportements comme : une perte d’intérêt dans les activités quotidiennes, un changement notable d’appétit ou de poids, un changement du cycle du sommeil, une perte d’énergie, de confiance en soi, des problèmes de concentration, d’irritabilité, des maux de têtes, des douleurs au ventre , associés à un sentiment d’impotence et de desespoir, sont autant de signaux d’alerte à prendre sérieusement en compte.

PHOBIES – AGORAPHOBIE – PHOBIE SOCIALE – ATTAQUE DE PANIQUE

PHOBIES – AGORAPHOBIE – PHOBIE SOCIALE – ATTAQUE DE PANIQUE

LES PHOBIES
C’est une peur intense et tenace d’un objet ou d’une situation particulière qui normalement ne représente pas un réel danger pour l’individu. On rencontre plusieurs types dephobies spécifiques comme la peur des insectes, des souris, des reptiles, de l’eau, des hauteurs etc… A cela s’ajoutent des phobies situationnelles comme l’ascenceur, l’avion etc… Des études montrent qu’au cours de la vie 12,5% de la population générale sera confrontée à une phobie simple.

L’AGORAPHOBIE
L’agoraphobie se définité comme la peur des grands espaces et la foule. On peut trouver aussi une peur et un évitement des lieux publics (rue, magasins, transports en commun, salles de spectacles…) ou des espaces clos (métro, ascenceur). En pratique, l’agoraphobie va éviter les situations dont il est difficile de s’extraire par crainte du surgissement d’une attaque de panique que l’on retrouve sous-jacente.

LA PHOBIE SOCIALE
La phobie sociale est une peur excessive et chronique des situations sociales et des situations d’exposition au regard d’autrui. Cette peur s’exprime souvent par des troubles fonctionnels : gêne respiratoire, transpiration, tachycardie, rougeurs, tremblements des membres (surtout des mains), difficultés d’élocutaion, bouche sèche ou encore voix inaudible. A la différence de la timidité, la phobie sociale génère un véritable handicap et une grande souffrance associée à des pensées négatives. L’évitement est le quotidien du phobique social. Ce trouble se complique très souvent d’une dépression ou de conduites d’addiction (alcool, médicaments, drogue). Là où l’agoraphobie a un lien étroit avec les paniques, la phobie sociale a un lien étroit avec un déficit d’affirmation de soi.

L’ATTAQUE DE PANIQUE
Elle se présente sous la forme d’une crise brutale et soudaine généralement dans des situations banales et le plus souvent en public. Les personnes qui en sont victimes ressentent des oppressions thoraciques, des palpitations, des dyspnées, des bouffées de chaleur…Une peur de devenir fou ou de mourir est souvent rapportée. Les premières crises entraînent habituellement la peur d’une récidive. Ces personnes éviteront donc les situations identiques à celles qui ont été vécues lors des premiers traumatismes. L’attaque de panique évolue alors parfois vers l’agoraphobie.

TRAITEMENT DU STRESS ET DES TROUBLES ANXIEUX

TRAITEMENT DU STRESS ET DES TROUBLES ANXIEUX

Le stress
C’est un concept qui désigne la réponse de l’organisme à une agression ou à un traumatisme quelconque. Dans le langage populaire, l’agent stressant (l’agresseur) et la réponse sont confondus dans le mot « stress ». Il s’agit concrètement de ce que l’on ressent lorsque l’organisme tente de s’adapter à une situation nouvelle qui menace son équilibre. L’anxiété est une réponse courante au stress.

L’anxiété
Les études de ces dernières années établissent que 20% de la population est touchée par des troubles de l’anxiété. L’anxiété est dans son fondement la même émotion que la peur. La peur est une émotion ressentie en confrontation immédiate avec un danger, qu’il soit réel ou imaginaire alors que la source du danger n’est pas ou peu identifiable dans le cas de l’anxiété. Le lien entre la menace et l’anxiété est incertain, exagéré et souvent irrationnel. C’est une réaction d’alerte en l’absence de tout péril imminent. Confronté à une absence de repères, l’organisme développe des réactions instinctives qui modifient le comportement dans un sens défensif. Ces réactions sont alors de trois types : l’attaque, la fuite (ou la fuite en avant) et la stupeur (ou effroi)

L’anxiété généralisée
Il s’agit d’un état plutôt sstable et continu dans lequel le sujet sera préoccupé, pratiquement sans maîtrise et sans arrêt, par des ruminations et des idées de peur et d’inquiétude. Le plus souvent, ce sont des préoccupations concernant l’entourage immédiat. Des situations simples du quotidien vont prendre des proportions extrêmes. Cet état s’accompagne fréquemment de troubles somatiques, d’une détresse importante et d’une souffrance cliniquement significative que le patient verbalise.
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La crise d’angoisse
Si l’anxiété est assez proche de la peur et mobilise des ressources nerveuses, l’angoisse est un sentiment beaucoup plus viscéral et inconscient à la fois. L’angoisse ou la crise d’angoisse survient généralement à la suite d’une contrariété, d’une mauvaise nouvelle ou d’un choc psychologique. C’est un syndrome de problématiques tangibles et identifiables auxquelles le sujet est confronté mais qu’il n’a pas encore résolues. L’intensité de la crise est subjective et propre à chacun. Elle fait fréquemment intervenir des troubles psychosomatiques que l’on qualifie communément de spasmophilie (douleurs abdominales, nausées, vertiges, sensations d’étouffement…).

LE TROUBLE DE L’HUMEUR

LE TROUBLE DE L’HUMEUR

La vie de chaque individu est jalonnée d’émotions qui peuvent être agréables mais aussi douloureuses. En général ces émotions demeurent contrôlées et n’ont que peu de répercussions sur le comportement. Mais chez certaines personnes, à un moment ou dans un contexte donné, elles peuvent prendre une ampleur démesurée et devenir extrêment douloureuses et incapacitantes.
On sait aujourd’hui que les troubles de l’humeur proviennent d’un dérèglement des neurotransmetteurs (composés chimiques libérés  par les neurones) dont on ne connaît pas encore avec certitude l’origine.
Il est cependant établi que différents facteurs peuvent contribuer à l’apparition de symptômes comme :
-un déséquilibre hormonal,
-la consommation d’alcool ou de drogues,
-certaines maladies
Une des manifestations de ces troubles se retrouve dans la dépression nerveuse. On peut citer la bipolarité durant laquelle des phases maniaques succèdent à des phases dépressives.
Une personne sur cinq est confrontée à la dépression au cours de sa vie. Il est par conséquent important de ne pas en négliger le traitement.

Ce traitement relève de trois registres :
-L’hygiène de vie : comme dans beaucoup de pathologies, et de maladies, une bonne hygiène de vie permettra de diminuer l’intensité des symptômes, il s’agit en particulier d’avoir une alimentation régulière et équilibrée, d’avoir un sommeil de qualité, de faire de l’exercice et de supprimer ou à défaut de réduire sa consammotion d’alcool ou de drogue.
-La psychothérapie et en particulier les thérapies cognitives et comportementales. Elles permettent, entre autres, de travailler sur les cognitions (façon de voir et de traduire le monde en fonction de son vécu) et en particulier sur les pensées dichotomiques (tout ou rien), sur les sur-généralisations, sur l’abstraction sélective (perception du seul côté négatif des choses), sur la disqualification du positif (transformation du neutre ou du positif en négatif), sur l’exagération, ou encore sur les fausses obligations, l’étiquetage, la personnalisation etc. que l’on retrouve systématiquement associés aux troubles de l’humeur.
-Les traitement médicamenteux (antidépresseurs, stabilitateurs de l’humeur) vont quant à eux agir sur les neurotransmetteurs du cerveau. Ces traitements visent la rémission des symptômes mais nécessitent un véritable suivi médical et un strict respect des prescriptions. Il est d’ailleurs conseillé et opportun de les coupler à une psychothérapie. En effet, si les médicaments donnent des résultats tangibles dans la stabilisation de l’humeur, ils n’ont aucun effet sur le discours qui peut demeurer inchangé (négatif, pessimiste….) et donc devenir paradoxal.

AIDE PSYCHOLOGIQUE RELATIONS AMOUREUSES, FAMILIALES ET SOCIALES

AIDE PSYCHOLOGIQUE
RELATIONS AMOUREUSES, FAMILIALES ET SOCIALES

 Peur de l’engagement
Au bout de quelques mois ou quelques années de vie en couple , on peut se demander : « est-ce vraiment l’homme ou la femme de ma vie ? Sommes-nous faits pour vivre ensemble ? ». La peur de l’engagement peut alors apparaître. Certaines personnes, très affirmées sur le plan professionnel, auront ainsi de grandes difficultés à décider pour leur vie amoureuse. Cette peur se manifeste de différentes manières :: disputes, perte d’intérêt pour son conjoint, critique de l’autre, rejet de son partenaire, relations extra-conjugales etc….

Répétition des échecs amoureux
« L’amour est aveugle ! ». Si certaines personnes ont des histoires d’amour qui finissent toujours mal, c’est qu’elles réactivent en permanence un même type de relation dévastatrice. Elles répètent indéfiniment le même scénario qui trouve très souvent son origine dans l’enfance. Identifier le « script » inconscient (reproduction ou désobéissance à un schéma familial par exemple) va aider à changer de rôle et à s’engager enfin dans une aventure différente.

Relations familiales
La famille est un univers complexe où s’entrecroisent une multitude de relations ascendantes, descendantes et horizontales. Chaque relation a sa propre dynamique qui s’intègre dans l’histoire familiale mais aussi dans le cadre beaucoup plus large de la société. Les incompréhensions et les crises parents-enfants, adultes-parents, celles survenant avec l’arrivée d’un nouveau-né ou à l’occasion d’une adoption trouvent leurs racines dans cet entrelacement affectif que le thérapeute s’emploie à dénouer.

Relations sociales
Dès la naissance l’individu n’existe qu’à travers le regard d’autrui. Or ce regard peut être sévère, critique, déstabilisant, blessant et parfois même destructeur. En résulte des souffrances incompréhensibles qui compliquent les rapports sociaux au quotidien, que ce soit dans le cadre personnel ou professionnel. La thérapie va permettre de s’affranchir de cette image pesante et inexacte, de mieux se connaître et en résumé de se retrouver pour mieux comprendre l’autre.

PSYCHOLOGUE EN LIGNE ET AU CABINET

PSYCHOLOGUE EN LIGNE ET AU CABINET

Psychologue en libéral, spécialiste des thérapies courtes, je reçois en consultation des adultes mais aussi des enfants et des adolescents. J’effectue mes consultations par téléphone ou à mon cabinet. J’interviens essentiellement dans les domaines suivants :

  • ACCOMPAGNEMENT PSYCHOLOGIQUE
    Dans les grands choix de vie (changement d’orientation, de lieu, de vie)
    Soutien psychologique lors d’une maternité ou d’une adoption, d’un accouchement
    Analyse des émotions bloquées pouvant résulter de « traumatismes » durant l’enfance
    Harcèlement moral dans le cadre professionnel ou familial
  • THÉRAPIES AFFECTIVES
    Relations amoureuses (peur de l’engagement, répétition des échecs amoureux, choix du partenaire)
    Relations familiales (parents-enfants, adultes-parents, arrivée d’un enfant)
    Connaissance de soi pour mieux comprendre l’autre
  • TROUBLES DE L’HUMEUR
    Gestion des émotions (colère, tristesse…)
    Réajustement du dérèglement
  • STRESS, ANXIÉTÉ, CRISE D’ANGOISSE
    Traitement du stress et du trouble anxieux
    Crise d’angoisse, accès de panique
  • PHOBIES
    Phobie sociale, des grandeurs, claustrophobie
    Difficulté d’affirmation de soi, timidité
  • DÉPRESSION
    Identifier les causes du mal-être
    Sortir du repli et de l’isolement
    Travail sur les troubles anxieux, la perte de moral, la fatigue, la tristesse et la perte de la capacité d’entreprendr
  • TRAVAIL DE DEUIL
    Accompagnent psychologique de la perte d’un parent ou d’un proche
    Soutien psychologiquelors d’une séparation (mécanismes en jeu, gestion des émotions, communication avec les enfants)
  • THÉRAPIE DE COUPLE
    Identifier les vraies causes d’une crise
    Restaurer la communication et aplanir les conflits
  • THÉRAPIE D’ENFANTS ET D’ADOLESCENTS
    Prendre en compte ses besoins et lui permettre un meilleur épanouissement
    Gérer des peurs incompréhensibles, des phobies ou bien des troubles du sommeil